Dossier médical
Nom & Prénom - Thorkel Daarkenwald
Sexe -- Masculin
Âge -30 ans
Traits physiques Je suis dans la moyenne. Je suis un peu large d’épaules mais j’ai les muscles saillants par l’exercice physique que je fais chaque jour. J’ai les cheveux longs qui descendent jusqu’en bas du dos. Ils ont la particularité d’être presque blancs. Allez savoir pourquoi, ce n’est pas un trait de famille. Mes yeux sont vairons, l’un bleu azur, l’autre vert clair. Je dois dire qu’ils ne m’ont pas portés bonheur. Mon visage peut paraître doux et avenant au premier regard … Seulement au premier. je parais serein, ce que je suis en réalité, par moment mon visage se teinte d'une extrême froideur. Ne venez pas me chercher dans ces moments là.
Taille -1 m 95
Poids -78Kg
Maladie ou handicap physique -Aucun
Autres - J’ai fait tatouer un Gryphon au creux de mes reins.
Dossier psychologique
Qualités -j’aime la justice et rien ne pourra me faire changer de chemin. Je ne baisse jamais les bras et je vais toujours au fond des choses. Je suis donc déterminé, mais discret, précis et efficace. Mes intuitions ne m’ont jamais trompé. Je suis un passionné, surtout dans ce que j’entreprends, rien ne me fait plus plaisir que d’arriver à mes fins, les prisonniers le savent que trop bien.
Défauts - Il parait que je suis difficile à définir. J’ai une personnalité variable, en laquelle le meilleur et le pire peuvent se côtoyer, se suivre. Je suis méthodique et ordonné. Hé oui cela peut être un défaut parfois. Si la colère vient par le biais d’une personne, elle peut se gausser d’avoir réussie, mais subir celle-ci jusqu’à ce que je sois pleinement satisfait.
Aime- Pas grand-chose … A part mon sabre qui ne me quitte jamais. La justice quand elle est bien donnée. Par ailleurs, je me suis trouvé un nouveau hobby, je cherche de nouvelles méthodes pour que les détenus se souviennent de moi. Un vrai challenge.
N'aime pas - Montrer mes faiblesses, perdre un combat, renoncer à quoi que ce soit.
Comportement avec les gens- (idéalement dans la prison) Etant renfermé, je parle peu, je suis très bref. Je ne cherche pas le conflit mais pour un détenu qui fait du grabuge je ne me gênerais pas pour lui en coller une … Bien au contraire. J’essaie toujours d’être correcte avec mes collègues. Mais il ne faut pas trop pousser non plus. Je ne suis pas quelqu’un de très amical avec les gens.
Comportement avec les gens - La justice, j’y crois encore. L’ordre, les règles.
Maladie ou handicap mental –Non
Tics - J’ai tendance à caresser le manche de mon sabre. J’aime sentir sa présence.
Passé - Issu d’une famille d’immigrés Norvégiens, j’ai atterri dans un quartier du Bronx à l’âge de 10 ans. De là Je n’ai connu que la rue. Mon père était un chômeur, et alcoolique notoire. Ma pauvre mère trimait sans se soucier d’elle, mais de moi. Femme de ménage et femme battue, soumise, il l’a touché une fois de trop, je l’ai retrouvé sur le sol de la cuisine le crâne fracassé. Mon père fut arrêté alors qu’il prenait un verre avec ses copains peu de temps après l’avoir tué. Il prit 15ans pour homicide involontaire, une blague. Je ne l’ai jamais revu depuis, un soulagement. Je me suis retrouvé seul … Peu de temps. On m’installa dans une famille d’accueil, j’avais à peine 16 ans. Ma vie ne changea pas pour autant, loin de là. J’étais toujours dans un quartier malfamé avec des gens peu enclin à m’aider.
Le seul rayon de soleil dans cette sombre vie fut Dan. Un ado déjà très mature pour son âge. Une véritable amitié naquit, qui se transforma en un profond amour. Deux âmes seules s’étaient trouvées, enfin le bonheur. Le rêve fut de courte durée. A la sortie du ciné, les jeunes qui avaient eu vent de notre histoire, nous attendaient cachés dans une ruelle. Ils nous ont tabassés à mort. Je suis le seul survivant. Les meurtriers restaient, quant à eux, impunis. Ma vie n’avait plus de sens sans lui, je tombais dans les profondeurs de l’abime. Je sombrais dans en totale léthargie, je ne voyais que le doux visage de mon amour disparu. Sur mon lit d’hôpital, je m’enfermais dans un mutisme, cela m’arrangeais, je ne voulais plus me lier à personne. Les gens me laissaient en paix et j’eus le temps de cogiter. Mon cerveau en ébullition me disait de continuer et de faire en sorte que la justice soit rendue, car j’y croyais toujours. Je devais le faire pour lui, en sa mémoire. Je quittais le Bronx Définitivement, sans un regard en arrière. Je fis des petits boulots qui me permettaient de survivre. Mais mes nuits je les passais dehors ou dans un foyer. Bientôt je fis connaissance de l’homme qui changera la donne de mon existence imparfaite. Maître Zhuang me prit sous son aile. J’habitais dans une petite chambre au dessus de son restaurant ou je travaillais comme plongeur. Cet homme bon et généreux m’apprit aussi les rudiments des arts martiaux, et le maniement du sabre que j’adorais par-dessus tout. Malheureusement mon maître me fut arraché par des drogués en quête d’un peu d’argent. Trois vies, trois êtres que j’aimais, et qui ils me l’ont bien rendu. Je me devais de faire quelques choses, pour que leur repos soit paisible.
Une sorte de vengeance par procuration.
Un virage de plus et radical, je pris l’uniforme de flic. Si je voulais que justice soit faite autant être du bon côté et avoir la loi comme carte de visite. Je me spécialisais dans les braquages et prises d’otages, je fus nommé dans la brigade des tireurs d’élite. Je n’étais pas mauvais dans ce genre d’exercices. Sans remord je les tuais en prenant tout mon temps. Mais mon plaisir fut de courte durée, les sensations du départ se sont envolés. Il ne me suffisait plus de les avoir dans mon viseur, il fallait que je voie leurs visages bien en face. Regarder leurs yeux s’agrandir sous la peur et la douleur, les faire payer pour leurs crimes.
On me parla d’une prison qui ferait mon affaire ou mon plaisir serait chaque jour intacte … Je postulais comme gardien …
Sadismus a fermé ses portes, je n’y croyais pas au départ, cela me semblait surréaliste. Pourtant ce jour vint, je n’ai pas eu d’autres choix que de plier bagages. Je suis retourné dans mon ancien travail avec la conviction que je n’avais plus ma place. Tout me manquait, l’ambiance, le boulot que je m’évertuais à faire plus que correctement et par-dessus tout, contre tout attente ce qui se passait en dessous. Ce petit coté privilégié que j’avais avec les détenus, ces petits moments de "distraction" qui me sont devenus inestimables, jouissifs, très excitants. Cela me plaisait, parce que pour moi c'était normal de punir, au départ j'avais des difficultés à la pratiquer, puis c'est devenu comme un besoin presque vital. Malheureusement j’avais perdu tout cela pour revenir à un emploi qui me semblait bien fade.
Jusqu’à ce que mon chef hiérarchique me fasse appeler à son bureau. Il y avait du nouveau, une autre prison, comme Sadismus, venait d’ouvrir, cette fois au Luxembourg. Je n’en croyais pas mes oreilles et ma bonne étoile, et en plus mon chef me donnait l’autorisation de partir là bas. J’avais fait mes preuves, eut un bon rapport, de plus il savait que je ne me plaisais pas à mon poste, il a donc pensé à moi.
Après huit mois de galère me voilà de retour …. De retour chez moi !
Autres -
Dossier emploi
Poste occupé dans la prison -Gardien
Matricule -3126
Rang –Les griffes de la vengeance
No. de chambre -
Armes - Mon sabre, un couteau de combat caché dans ma botte et mon arme de service
Personnage sur l'avatar Iason Mink (Ai no Kusabi)
Mar 30 Sep - 22:24
