Edward Stevensen

Nom & Prénom-Edward stevensen

Sexe- Masculin

Âge- 15 ans

Traits physiques- Je suis plutôt frêle pour mon âge, mais en fait on me croit souvent plus âgé car il parait que j’ai une expression trop grave pour être celle d’un enfant. J'ai les cheveux blond clair et les yeux rouges ainsi qu'une peau assez pâle ce qui fait que mes parents ont cru que j'étais albinos quand je suis né mais en fait non je suis comme ça c'est tout et ça me convient très bien. De loin les gens me trouve mignon mais étrangement après m’avoir regardé dans les yeux ils font une drôle de tête, il parait que j’ai le regard glacial et que ça les met mal à l’aise. Pauvres chéris. J’arbores habituellement une expression d’indifférence totale et froide à ce qui m’entoure mais j’ai appris à bien jouer la comédie et j’arrive maintenant à faire exprimer à mes traits l’expression que je veux pour tromper mon entourage.

Taille- 1m50

Poids- 46kg

Maladie ou handicap physique- aucun





Qualités- Extrêmement intelligent je m’ennuyait horriblement en cours. Dès lors j’ai décidé de chercher moi-même des choses plus intéressantes à apprendre et je cherche en permanence car, du fait que je comprend et retiens avec facilité tout ce qui me tombe sous la main, je m’ennuie toujours. Je suis assez méthodique, je fais tout calmement dans l’ordre que j’ai choisit et à la perfection pour obtenir ce que je veux. En revanche quand je m’énerve ou lorsque la situation l’exige je suis capable d’agir très vite plus ou moins à l’instinct et habituellement ça me réussit très bien. En fait je suis capable d’analyser la situation et de trouver la meilleure solution avec la vitesse nécessaire pour réagir immédiatement ce qui m’a permit de me tirer de nombreuses situations pour le moins dangereuses.

Défauts- En cherchant bien on pourrait dire que je suis un peu trop sûr de moi ce qui contrarie parfois mes plans, mais pour palier à ça je m’oblige à bien envisager toutes les possibilités avant de me décider (sauf quand je manque de temps bien sûr), souvent pour l’option que j’avais choisie dès le début d’ailleurs mais on ne sait jamais. Il parait que je ne parle pas assez, en fait je ne parle presque jamais sauf pour avoir une conversation intéressante avec quelqu’un (mais les gens de mon « entourage » sont d’une telle idiotie) ou pour exprimer mon opinion (le plus souvent négative) à quelqu’un pour qu’il cesse de m’indisposer par sa présence. Ah ! Et on me dit aussi froid, calculateur, indifférent, insensible et cruel… mais pour moi ce ne sont pas des défauts mais plutôt des compliments… enfin comme on me le dit comme quelque chose de péjoratif je le mets dans défauts…

Aime- Ce que j’apprécie le plus c’est d’apprendre de nouvelles choses. Mais j’aime aussi beaucoup arnaquer les gens sans intérêt, de les faire tomber dans des pièges finement mis en place et de les terroriser et de les tuer aussi accessoirement. Par ailleurs j’aime tout ce qui est froid, rapide, silencieux, fort et meurtrier. Je trouve cela fascinant et tellement plus beau que ces trucs pitoyables qui pleurnichent et gémissent. J’aime beaucoup aussi trouver quelqu’un de plus intelligent ou de plus fort que moi, je trouve ce genre personne très intéressantes et j’aime les étudier.

N'aime pas- Les gens idiots bruyants prétentieux et lents m’exaspèrent au plus haut point lorsqu’ils envahissent mon espace vital. Tant que ces machins pitoyables restent à une certaine distance de moi ça va, mais lorsque qu’il s’accroche comme des sangsues et refusent de me laisser tranquille malgré les mots peu aimable que je leurs envoient dans le but de les voir s’éloigner, là… Tout particulièrement ces sortes de trucs gluants qui sentent toutes sortes de parfums écoeurant, dont le visage ressemble à un pot de peinture et qui sont plus collantes que de la glue extra forte : je ne les supportes pas. Je préfère encore les montagnes de muscles à qui il manque (ou pas) le muscle principal (à savoir le cerveau) qui ont comme idée fixe de me casser la figure pour me faire payer le fait d’avoir les yeux rouge et un comportement très inamical (eux ils disent « méprisant » mais je veux juste qu’on me fiche la paix moi) ; eux au moins ils sont forts, voir rapides.

Comportement avec les gens- Cela dépend de la personne, de si je l’aime bien ou pas car contrairement à ce que vous pensez il y a des gens que j’aime bien (enfin pour l’instant personne mais ça arrive et puis pour l’instant j’étais en compagnie de personnes détestables de mon point de vue alors…). Quand ce sont des gens que je n’aime pas je préfère qu’ils me laissent tranquille sinon je leur fais comprendre de façon efficace qu’ils feraient mieux de me laisser tranquille. Quand ce sont des gens que j’aime bien je les observe.

Maladie ou handicap mental- Je ne pense pas à moins que mon comportement vienne de là ?

Valeurs- rien de particulier

Tics- Quand je suis intrigué par quelque chose je lève le sourcil gauche et penches la tête sur le côté.

Passé-

Je suis né dans une famille d’aristocrates fortunés et on ne peut plus snob. On m’a par conséquent appris dès mon plus jeune âge les bonnes manières de la haute société et à respecter en toutes circonstances les apparences. J’ai un frère et une sœur aînés, nous avons 12ans de différence, je les déteste. Ce sont des faux jumeaux aussi stupides l’un que l’autre mais d’une manière très différente. Le but de ma sœur dans la vie est d’être belle et de séduire par ce moyen et par ces sourires commerciaux un chef d’entreprise riche et de préférence noble aussi mais pas forcement jeune ; et de lui donner des lardons braillards. Le but de mon frère dans la vie est de devenir un chef d’entreprise riche (noble il l’est déjà bien sûr) et d’épouser un clone de ma sœur : belle et stupide pour lui faire pondre une portée de morveux. Mes parents sont un vrai modèle pour eux. Mon père dirige une entreprise de communication et il possède un très grand nombre d’action dans un tas d’autres boites, ce qui fait qu’il possède une sacrée fortune et qu’il est assez peu souvent au manoir et beaucoup plus souvent au travail. Ma mère est la parfaite épouse qui dirige parfaitement les domestiques, organise de magnifiques réceptions et, bien entendu, veille à ce que ses rejetons rentrent bien dans le moule. J’ai compris très vite que, au final, je n’avais rien à gagner à m’opposer à ma mère alors qu’il suffisait que je ramène de bonne notes et que je fasse acte de présence aux différents dîner qu’elle organise pour qu’elle me fiche la paix. Néanmoins si la partie « ramener de bonnes notes » a toujours été pour moi d’une simplicité criante vu le niveau désespérant, aller à l’école me pesait et je considérais cela comme une perte de temps. Malheureusement pour moi ma très chère famille tenait à ce que j’y aille. J’en ai fait l’expérience la seule fois où j’ai tenté de manquer les cours, j’avais alors 4 ans. Pour moi qui savais déjà lire et écrire (grâce au professeur particulier de mon frère qui avait du temps à perdre quand celui-ci lui posait un lapin), la maternelle était un endroit vraiment étrange, très franchement qui peut avoir envie de faire de la peinture avec ses doigts ? Ou de chanter bêtement une comptine sur les jours de la semaine ? Le pire c’est qu’il y en a qui trouve le moyen de se planter en plus, c’est désespérant. Bref complètement excédé j’ai décidé un jour après que mon chauffeur m’eut déposé devant l’école de faucher compagnie à mon professeur des écoles (inciter des mômes au chahut pour l’occuper n’est pas bien difficile) et de me promener au musée d’à côté en me faisant passer pour le fils d’une cliente qui ne m’avait même pas vu (comme c’est gratuit pour les enfants c’est pratique mais un enfant tout seul c’est louche). Malheureusement pour moi mon très cher professeur ne trouva rien de mieux à faire que d’alerter mon auguste mère à propos de mon absence après m’avoir désespérément cherché partout. Ce qui fait que, lorsque j’ai fait un pas hors du musée le soir juste avant l’heure de fin des cours, j’ai aussitôt été attrapé par un policier triomphant qui m’a immédiatement enseveli sous les questions (où j’avais mal, qui m’avait enlevé, comment j’avais réussit à m’échapper, qu’est ce qu’on m’avait fait, où était mon ravisseur…) et je me suis retrouvé à l’hôpital. J’eu la présence d’esprit de ne rien répondre à l’interrogatoire des policiers et de fournir une version très proche de la vérité à mes parents dès que nous nous sommes retrouvés en famille. Ce qui permit à cet « incident » comme le nomme désormais ma mère de se solder par un article en première page du journal qui décrivait l’horrible agresseur qui avait tenté de demander une rançon et l’intervention irréprochable des policiers qui m’avaient sauvé au péril de leur vie (et qui du coup étaient d’accords avec cette version), ainsi que par une privation de sorties et d’argent de poche de 2 ans et un certain nombre de coups de lanière pour me faire comprendre qu’il valait mieux pour moi m’abstenir de recommencer. J’eu même droit en prime à des séances déplaisantes avec un soit disant psychologue et je changeais d’école pour me retrouver dans une pire. J’avais pour la première fois de ma courte vie une très bonne raison d’en vouloir à quelqu’un. Je me suis donc mis au travail et 6 mois plus tard mon très cher professeur se pendait en laissant une lettre comme quoi il ne supportait plus les calomnies qu’on rapportait sur son compte (que j’avais soigneusement élaborée, étayées et diffusées), les lettres de menaces de mort qu’il avait reçues (écrites à mes moments perdus et postées d’un bout à l’autre du pays et même de l’étranger d’après les tampons si faciles à imiter) et les phénomènes étranges qui se produisait autour de lui (je dois avouer m’être surpassé une fois en laissant des entrailles de porc un peu partout dans sa maison pendant son absence accompagnées de différents yeux et oreilles humains volés à la morgue). Si j’avais eu l’intention de lui rendre la vie la plus horrible possible je ne pensais pas à le tuer car à l’époque l’idée ne m’avait même pas effleurée. Ce fut moi qui découvris le corps et bien sûr je ne dis rien à personne laissant à la prochaine personne qui le trouverait le soin de prévenir la police car j’aurais été bien en peine de justifier ma présence en ces lieux. Ce cadavre exerça sur moi une sorte de fascination et je me rendis compte que plus jamais il ne m’ennuierait et que par ailleurs c’était moi qui avais gagné le jeu sans que personne n’en sache rien. Je trouvais ce nouveau jeu très intéressant, bien plus que tout les autres, et dans les 6 mois qui suivirent je poussais au suicide d’autres professeurs, une demi douzaine de psychiatre, une dame ayant dit à mes parents qu’elle m’avait vu au musée et diverses autres personnes dont la tête ne me revenait pas. Le but du jeu était d’y parvenir sans que personne ne fasse le lien avec moi et de manière la plus diverse possible. Et personne ne fis le lien si évident sois t-il, j’augmentais la difficulté en essayant de pousser les gens à se suicider de différentes façons. Alors que j’avais 6 ans, il y avait dans ma classe une file que je trouvait particulièrement belle car silencieuse légère rapide et gracieuse. Elle me trouva un jour alors que je regardais paisiblement mon dernier psychiatre en date se vider de son sang après s’être ouvert les veines. Cette petite pleurnicharde allait hurler alors je l’ai tuée. Ce fut un vrai délice de voir l’étonnement sur son visage faire place à a peur puis au silence. J’ai maquillé la scène pour faire croire qu’il l’avait violée puis tuée avant de se suicider. Je m’étais trouvé un nouveau jeu. Par la suite j’ai changé de cibles en choisissant davantage des personnes qui me plaisait tout en continuant d’éliminer celles qui ne me plaisait pas et la police en a déduit que le taux de criminalité avait augmenté sans pour autant faire le rapprochement, alors que le point commun c’est que j’aimait terroriser mon adversaire de jeu avant de l’éliminer même si je variait les façons de faire au fur et à mesure que mes connaissances en chimie, techniques de combat (l’apprentissage au dojo faisant de toute façon parti de la tradition familiale qui pour une fois servait à quelque chose), physique, poisons, armes, littérature... augmentaient. J’en avais de plus en plus assez de cette famille contraignante et inutile. Un jour, aux alentours de mon treizième anniversaire, je lu dans le journal qu’une fille s’était faite arrêtée et emprisonnée pour avoir tenté de massacrer tout les habitants de son village, son nom de famille me disait vaguement quelque chose puisque c’était celui de ma tante. La photo jointe me fit me souvenir que j’avais effectivement rencontré ma cousine 2 ans auparavant dans une des ennuyeuses réceptions de ma mère. Je l’avais trouvé très classe quand je l’avais regardée allongée sur la neige toute blanche et si froide pendant que tous ces idiots discutaient de la honte de la famille, ma tante, qui avait osé épouser un garde chasse et de sa fille qui était visiblement une honte également. Ca avait été un réel plaisir de découvrir qu’il y avait au moins une personne de potable dans mon exécrable famille (ma cousine bien sûr pas ma tante cette amoureuse de la nature pourtant incapable de l’apprécier sans plus de réflexion qu’un pois chiche). Deux jours plus tard ma mère toute excitée au dîner familiale, habituellement d’une température polaire, que pour sa plus grande joie c’est elle qui avait été choisie pour organiser la prochaine réunion annuelle où se retrouvait tous les nobles, les richissimes et les hauts fonctionnaires du pays accompagnés de leur famille pour se faire des ronds de jambe. Excédé à l’idée de devoir encore une fois assister à ces interminables et ennuyeuses cérémonies à la gloire du luxe et de la bêtise, je repensait alors à ma cousine en me disant que je préférerais être avec elle bien que je la connaisse à peine et qu’elle ne m’ait vu que 2 ou 3 fois lorsqu’elle était venue. Entrer dans une prison est quelque chose de relativement simple, il suffit de commettre un délit quelconque, entrer dans cette prison nécessitait de commettre quelque chose d’assez grandiose et donc quelque chose de très amusant. Ce rassemblement m’offrait une occasion que je m’empressais de saisir. Comme il ne me restait qu’à peine une semaine avant l’événement je me contentais du strict minimum nécessaire de préparatif. Pendant que ma sœur devenait hystérique quand à la robe et au maquillage qu’elle mettrait, je m’assurais qu’une fois tout le monde dans la propriété personne ne pourrait ressortir sans que je le veuilles et que toutes les cameras de surveillance soient en bonne état de marche et facile à pirater pour les policiers qui devaient protéger le rassemblement (je voulais enregistrer mon œuvre). Ce soir là et bien presque tout se passa comme prévu et j’essayais de faire quelque chose d’encore mieux de ce qui n’avait pas marché, l’imprévu donne du piment à la vie. Après ça je me sentais de très bonne humeur et particulièrement heureux de voir toutes ces fourmis qui d’habitude s’agitaient inutilement et bruyamment dans tous les sens soient calmes et immobiles, particulièrement silencieux et pour une fois esthétiques car toutes ces taches rouges et ces formes tordues de façon étrange sur la neige d’une blancheur éclatante formaient un ensemble plaisant pour le regard. Puis je descendit à la ville en voiture (bien sûr que je sais conduire) pour continuer ce qui avait si bien commencé mais la police finit tout de même par faire son travail et m’arrêta. Toutes les bonnes choses ont une fin. On finit par me condamner, après procès, à la réclusion dans la prison de Sadismus bien que cela fût difficile. En effet, malgré le fait que j’ai exterminé à l’arme blanche principalement mais aussi au moyen de diverses armes à feu, poisons, explosifs, produits chimiques toxiques et objets de toutes sortes (chaînes entre autre) ainsi qu’à main nu la quasi-totalité de « l’élite » du pays et près d’un dixième de la population de la ville voisine (j’étais particulièrement fier de mes belles petites bombes de fabrication irréprochable bien qu’artisanale) sous les yeux de nombreux témoins et cameras, mon stupide avocat avait presque réussit à les attendrir sur mon cas de pauvre petit enfant jusqu’à ce que je le fasse taire en l’étranglant avec ses tripes et que je manipule un peu le juge.




Crime(s) commit(ts)- J’ai été condamné pour l’assassinat de presque tous les membres de « l’élite » de mon pays qui participait à une réception et de nombreux habitants de la ville voisine du lieu de la dite réception de manières diverses ainsi que pour la torture (« particulièrement cruelle » d’après le juge) et le meurtre de tous les membres de ma famille qui assistait à cette réception c'est-à-dire tous sauf ma cousine. Mes autres crimes sont trop nombreux pour que je les relate ici.

Matricule- 561452

Rang- Crevette aristocratique

No. de cellule-

Personnage sur l'avatar- aucune idée désolée ^^’

Deux ans déjà…

Le fourgon fit une embardée et je me retrouvais projeté contre le policier de droite. J’étouffais un juron et en profitais pour lui mettre un coup de coude dans ses abdominaux inexistants l’air de rien. Il répliqua en envoyant son poing marquer l’emplacement d’un futur bleu sur ma pommette me laissant un goût de sang dans la bouche. La saloperie, avec les mains menottées dans le dos et mes pieds indéniablement et bien trop solidement unis à mon goût, je ne pouvais me retenir nulle part je ne vois pas ce qu’il me reprochais. Et non je ne suis pas de mauvaise foie, jamais. Le policier de gauche leva sa matraque mais je ne pu déterminer si c’était pour me dissuader de riposter ce que j’aurais bien été en peine de faire puisque sa poigne d’acier c’était refermée sur mon bras ou pour prévenir son collègue de cesser. Toujours est-il que ce geste avorta effectivement dans l’œuf toute tentative de nouvelle agression que ce soit d’un côté où de l’autre. Et le trajet pu se poursuivre calmement. Un trajet qui n’est pas près de se finir… C’est que rallier le Luxembourg par voie de terre en partant du fin fond de la Sibérie ça prend du temps. Beaucoup trop de temps à ne rien faire d’autre que penser, ce souvenir… Parce que franchement qu’est ce que je fait là ? Je suis arrivé à Sadismus jail parce que je l’avais voulu et finalement je n’ai pas retrouver ma cousine et peu de temps après être arrivé je n’avais plus qu’une idée : en partir. Je n’ai pas tellement envie de ressasser ce qui s’y est produit pas que ce ne soit que des souvenirs désagréables mais en grande majorité si tout de même… Et pourtant malgré tout quand la prison a fermé je n’en fus pas plus satisfait que ça… De toute façon je ne faisait qu’échanger cette prison pour une autre… Et pendant deux ans j’en ai changé souvent parce que voyez vous je m’étais trouvé un nouveau jeu, il le fallait bien étant donné que les gardiens étaient tout de même bien moins dangereux donc moins intéressant… Une mèche de cheveux roux se promène à la lisière de mon esprit comme d’habitude mais je la repousse fermement. Un nouveau jeu donc ou plutôt un nouveau défi : m’évader. J’y arrivait parfois et parfois pas mais même quand j’y arrivais ils finissaient par me retrouver parce que c’est difficile de passer inaperçu dans un endroit dont on ne sait rien sans personne pour vous aider mais aussi et surtout parce que je ne trouvait pas l’extérieur tellement plus attirant que la prison. On peut dire que j’ai un peu voyagé comme ça même au fond je n’ai pas vu grand-chose de l’extérieur et les prisons se ressemblent toutes, il n’y a que Sadismus qui était différente… Et puis ils en ont eu marre, ils ont donc finit par m’envoyer dans une prison perdue au fin fond de la Russie, en Sibérie, une prison haute sécurité où s’évader signifiait aussi mourir. En effet qui peut survivre dans un tel froid ? Je n’y ait passé que six mois -enfin c’est ce qu’on m’a dit, moi j’ai perdu le compte des jours- et pourtant ce froid glacial m’a imprégné de toute part. Il ne m’a pas seulement donné des engelures, j’ai l’impression qu’il m’a glacé de l’intérieur et je suis fermement convaincu que la seule raison pour laquelle je ne suis pas mort comme beaucoup d’autres c’est que ce froid me faisait panser à Ranko. Ma chère cousine qui ne craignait rien du froid et qui même l’appréciait profondément… Et puis un jour alors que songeais que ma transformation en statue de glace ne saurait tarder, ils sont venus me chercher comme ça, m’attacher, me jeter dans un fourgon entre deux policiers et puis nous sommes partis. J’avoue avoir un peu paniqué au début me demandant même s’ils n’étaient pas venus me chercher pour m’exécuter… comme d’habitude c’est quand je pense n’en avoir plus rien à faire que je me découvre attaché à la vie. Après quelques tentatives infructueuses d’abord de m’échapper ce qui était évidemment voué à l’échec puis de leur tirer les vers du nez et enfin de leur rendre la vie impossibles jusqu’à ce qu’ils cèdent j’ai fini par récolter un certain nombre d’informations -et de bleus aussi malheureusement mais bon tout a un prix. Donc non ils n’allaient pas me tuer. Oui ils me transféraient dans une prison. Où ça, au Luxembourg. Pourquoi, à la demande du directeur et maintenant veux tu te taire sale morveux. Et dernière chose oui on pouvait partir aussi rapidement sans plus de formalité puisque de toutes façons je n’avait jamais été inscrit de façon officielle sur les registres de la prison. Cette dernière nouvelle me fis tout de même un choc, c’était un peu comme si on m’avait déclaré mort… Du coup il me sembla un instant que quelque chose d’important m’échappait, à propos de cette nouvelle prison au Luxembourg. Et puis il y avait toujours ce quelque chose qui revenait si souvent dans mes pensées depuis deux ans et que j’en chassait avec détermination mais qui revenait quand même… La poigne du gardien sur mon bras ne s’est pas relâché et je crois que c’est dans cette position inconfortable que je vais faire la fin du voyage… Ce sera vraiment un très très long voyage.


Et voilà ^o^

Spoiler:

Tu as oublié de changer ton age ^^ Et il faut remettre l'avatar à la bonne taille (éventuellement en trouver un autre pour qu'il fasse un peu moins jeune aussi)

*Pyht est pressé de revoir sa crevette*

Tu seras dans la cellule 3.

Bon jeu !

Youpi ! *A hâte de commencer le rp*

Effectivement j'avais oublié ^^' mais voilà c'est réctifié
Pour la taille de l'avatard je vais lancer un appel à l'aide à Yo et j'en chercherais un autre si j'ai le temps (*submergé de boulot* )
Mais je crois qu'en fait si j'ai le temps je vais plutôt rp

Bon bah je crois que c'est tout et vu que je suis en fraude sur un ordi de la fac je crois que je vais me dépêcher