Cendres et Flammes
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Cendres et Flammes

Un univers carcéral violent et sans limites où les prisonniers n'ont plus aucun droit.
 
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 ~Alexandre~

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3 participants
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Alexandre Uartemendia
749204 Ironía sobre el corazón
Alexandre Uartemendia


Nombre de messages : 269
Date d'inscription : 11/10/2008

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MessageSujet: ~Alexandre~   ~Alexandre~ Icon_minitimeSam 11 Oct - 2:24

Dossier médical



Nom & Prénom- Uartemendia Alexandre.
Sexe- Masculin
Âge- Vingt-deux ans
Traits physiques- Dans l’ensemble, je suis un jeune homme plutôt bien proportionné. De taille moyenne, je pèse mon poids en muscle. Peut-être pas comparable à un « bludozère » mais tout de même bien formé. J’ai des origine latino ce qui explique la couleur noir jais de mes cheveux. Qui eux, sont d’ailleurs, pour la plupart du temps en bataille et mal coiffé ( il parait que ça fait son charme ). J’ai de temps à autre des foutues mèches qui me tombent devant le yeux. Par contre, rien n’explique la pigmentation de mes pupilles ; gris clair. A savoir qu’elles deviennent parfois bleus à la lumière. J’ai une peau claire en hiver et mate en été (vive le changement de couleur !). J’ai plutôt une tête sympathique même si je ne reste pas moins assez « sombre » ou mystérieux. Etalon espagnol, il suffit de l’être pour dégager un charme fou dit-vous ? J’y crois pas forcément, plutôt posé sur un fait qui dit : « ne pas faire attention à ce qu’on est, attire toujours l’attention sur vous ». Enfin voilà en gros mon pedigree.
Taille- 1m85
Poids-78Kilos
Maladie ou handicap physique- Je souffre de La Maladie de Mc Ardle. Héréditaire, elle ne m’est pas très dangereuse. Se manifeste sous forme d’une tension musculaire douloureuse accompagnée d'hypertonie. Pas de quoi paniquer, au bout de quelques minutes, la douleur disparaît, et je peux repartir vagabonder comme un lapin.
Autres- Je parle couramment l’espagnol, l’anglais, le français. Je fume … (me tombe pas sur le museau, c’est pas tous les jours)


Dossier psychologique


Qualités- Un homme a-t-il besoin de qualités pour être ce qu’il est ? J’pense pas, fin bon. Je suis quelqu’un d’assez énergique. Que ce soit dans les études ou dans un autre milieu, je donne toujours le meilleur de moi-même. Je suis relativement calme, par conséquent, peu bavard. J’ai une bonne volonté, donc ne vous inquiétez pas, je sais que j’ai une langue et je sais l’utiliser -pas de sous entendu, s’il vous plait-. Confiant, je n’ai pas peur de m’imposé. Conscient, je sais comment tourne le monde et ses gens. Par conséquent, ça prouve que j’ai les pieds bien ancrés dans le sol, voir peut-être de trop. J’observe beaucoup, même si je fais mine de m’intéresser à rien. Je sais facilement trompé les gens sur mon vrai moi. J’vois ça comme une qualité à partir du moment où, je ne fais que protéger mon intimité. Manipulation peut être aussi de la partie, mais je n’use de ça qu’en ayant vue sur des fins bienveillante (ou pas). Je n’ai pas peur de dire ce que je pense en face.

Défauts- J’ai dit que j’étais calme, mais en aucun cas, cela signifie que je suis patient. Justement, je suis le pire des impatients que le monde n’ai jamais vu. Genre, faire les courses, s’il y a une longue file ou si il faut deux heures à une personne pour payer au lieu de parler, bah ça, ça à le don de m’énerver. J’ai aussi une tare : dans mes mauvais jours, je peux me montrer très brusque et assez froid. Alors là, ce sera directe : « Fou moi la paix ». Et encore. Je ne supporte pas qu’on me tienne tête, je suis mauvais joueur par moment. Je peux aussi me montrer très sauvage, mais cela reste assez rare et exceptionnel. Je ne me fais pas facilement des amis. Ma confiance se gagne. J’ai l’habitude de rester seul, un véritable solitaire endurci. Avec facilité, je repousse les gens, montrant alors une mauvaise volonté de dialogue, mais encore une fois, c’est dans les mauvais jours (ou tout bêtement mon envie). Je suis assez têtu … Et très contradictoire.

Aime- J’aime ce qui n’est pas casse-cou, à savoir, les gens qui la ferment et qui ne disent pas de conneries toutes les secondes. J’ai toujours fait passer la difficulté avant la facilité, c’est peut-être hard, mais je préfère de loin ça. J’aime me prouver que je suis capable du meilleur comme du pire. J’aime pas vraiment la cigarette, mais elle me calme. Et de me dire que je peux arrêter quand j’veux, me prouve que je ne suis pas l’un de ces indépendants … Faut aimer la vie pour vivre nan ? J’ai une autre ‘’passion’’, celle de me jouer du monde. En gros, ça m’arrive de faire languir les demoiselles sans jamais rien faire ( mais mise à part ça, j’aime pas l’amour.)

N'aime pas- J’aime Je supporte pas qu’on se joue de moi. Ni qu’on vienne me demander un certain contact. J’apprécie pas les « câlins-bisous ». Le bruit, j’ai horreur de ça ( surtout le son que provoque les horloges ‘’tic, tac’’). Je ne suis pas du tout romantique, par conséquent, les histoires à l’eau de rose ne m’intéressent pas du tout. J’suis plutôt genre « asexué », je m’intéresse pas de près ni de loin à la reproduction humaine. J’aime pas vraiment le monde qui m’entoure. Et j’aime pas non plus raconter ma vie.

Comportement avec les gens- Je suis plutôt du genre « neutre ». Tant qu’on me laisse dans mon coin moi, ça m’va.
Maladie ou handicap mental- RAS
Valeurs- Négatif, la vie est un jeu … je la vis c’est tout.
Tics- J’ai tendance à venir caller l’ongle de mon pouce entre mes dents quand quelque chose me préoccupe. Et de lâcher un soupire accompagnée d’un « Tsseuh » quand je suis agacé.


Passé- Ce que forme la vie. Un passé, un présent et un futur. On garde toujours en tête que les affluents d’hier, ont un impacte direct avec ce que nous sommes aujourd’hui. Et ce que nous serons demain. Ma vie a moi à réellement commencer que lorsque la mort a bouffer mon air …

Ma vie est certainement l’une des plus banale que le monde est connu. Pour commencer, je suis né à Valence en Espagne. C’est d’ailleurs par une belle soirée d’hiver, qu’on a entendu les cris d’un gosse ( et oui, c’était moi ). J’vous raconte même pas la joie de la famille, enfin bref. Mon père était prof’ d’Université et ma mère travaillait entant que médecin. Les deux premières années de ma vie se sont passées tranquillement. Puis, vient la troisième. Une proposition s’offrait à mon père : une meilleure place, un meilleur travail et un meilleur salaire. Et donc, voilà toute ma petite famille en route pour la France.
Mes parents avaient fait de nombreux voyages et durant leur séjour en France, un petit village les avait séduit : la Bruyères. En effet, le coin était relativement calme. Bonne école avec tout ce qu’il fallait autour. Ma mère a rapidement trouver un nouveau travail (en même temps, médecin réputé en Espagne, logique qu’on l’embauche). Et moi dans tout ça ? Et bien, direction l’école maternelle au milieu de tous ces français miniature. Et parmi ce monde, je me sentais vaguement étranger, si bien que, timide, peureux, titubant, maladroit, je me tenais à l’écart. Loin de tout, loin d’eux. J’étais assez mal à l’aise. Mais heureusement pour moi, elle est venue vers moi. M’a tendue la main pour m’aider à me relever.

C’est comme ça qu’elle a intégré ma vie de petit garçon. J’ai pratiquement grandi avec elle durant dix longues années. Bien sûr, j’étais secrètement amoureux d’elle. Vous savez, c’est les gosses quoi … Enfin bref, tout était beau et calme. Jusqu’au jour où, un soir d’octobre, l’automne au perron de notre maison. Un coup de téléphone retentit, mon père le combiné collé à l’oreille. Je me souviens encore, de son sourire est passé un état de choque, de peur. Ses yeux verts d’habitude si tendre, me firent froid dans le dos. Complètement paniqué, il a directement raccroché au nez de la personne. Devenu blanc, il hurlait à ma mère de préparer ses affaires. Douze ans, je ne comprenais pas ce qu’il se passait. J’avais plutôt peur, mais pas le temps pour les prises de becs avec le paternel.

Nous quittions sur le champ le village, je regardais tristement la maison d’Angel’ disparaître dans la nuit en sentant mon cœur se tordre de douleur. Des larmes, encore et encore. Dans mon dos (pendant que je dormais) mon père a expliqué à ma mère le problème. Vous savez, mon père a toujours été un homme droit et honnête. Mais il craignait toujours d’avoir des problèmes avec les différents « groupes » de l’Espagne. Pour être plus précis, avec les trafiquants de drogues. Combien ne se sont pas fait des richesses sur ce compte. Enfin bref, apparemment, un imbécile de première zone à citer mon père comme l’un des profiteurs des fonds de la caisse. Par conséquent, il était « accusé » d’avoir voler une somme important à l’un de ces « parrains-toxico-friqués ». Je rappelle que je n’avais que douze ans et que mes parents n’allaient pas me sortir : « Alex, des fous vont nous tuer si on ne rend pas la somme X ». (Vous devez vous demandez pourquoi on a fuit … Bah parce qu’ils avaient notre adresse …)

Quoiqu’il en soit, nous sommes rentrés à Valence ce soir là chez l’une de mes tantes. Qui gentiment, nous a hébergé durant quelques temps, juste pour que mes parents retrouvent de quoi repartir à zéro. Et c’est effectivement, trois mois après que nous emménagions dans une petite maison. La reprise des cours pour moi, et du travail pour mes parents. Je vouais quelques difficultés d’intégration par rapport aux autres élèves. Mais le problème fut vite bâclé. Elle était pourtant, toujours dans mes pensées. Mes parents m’avaient refusé catégoriquement de lui envoyer des lettres. Plus aucun contact, je me devais de l’oublier.

Mes treize ans approchaient. Et vous savez que ce chiffre porte malheur pour les superstitieux. Ma mère en fait partie. C’est une grande catholique, si elle pouvait aller à l’Eglise tous les dimanches, elle le ferait. Enfin, quoi qu’il en soit, elle voue un culte à Dieu. Au point qu’elle m’oblige à porter cette fichue croix autour du cou. Pour en revenir à l’histoire du 13, cette année là, elle ne la sentait pas très bien. Et comme elle avait raison …

Après l’école, comme tous les gosses, je fais mes devoirs et j’me plante devant la tv en attendant que la mère prépare le souper. Vingt heure, attablé ensemble autour du repas du soir, nous nous échangions les faits de notre journée. Bla bla bla … Vingt et une heures, l’heure pour moi d’aller au lit. Après avoir souhaiter une bonne nuit, je monte en colimaçon dans ma chambre. Sous les couvertures, le sommeil palpait mes paupières.
En bas, mon père regardait les infos ou je n’sais quoi. Le seul problème a ce calme qui fut rapidement brisé par un bruit venant de la porte d’entrée. Des hommes armés ont fait éruption dans la maison. Prise de panique, ma mère est remontée en haut. Réveillé par ses cris et par une détonation … Elle était là debout en regardant mon lit vide. Un homme derrière elle la plaqua au sol. Les mots résonnaient fort : « Où ton salopard de mari à foutu le fric ? » … « ON N A JAMAIS EU VOTRE AGRENT ! ». La voix de maman était serrée et apeurée. Elle tourna alors les yeux vers le dessous du lit. C’est à se moment là qu’elle croisa mon regard en pleur. La main sur ma bouche, je sentais ma respiration en prendre un coup. Stressé surtout. Une larme glissa sur sa joue. Nouveau coup de détonation. Une balle en pleine tête, le sang coulait sur le tapis. Les yeux écarquillés, j’ai étouffé mon cri mais je n’ai pas su retenir les fragments de mon cœur … Voler en mille éclats.

Je suis resté un bon moment sous le lit, les yeux fermés pour ne pas voir le corps inerte de ma mère. J’ai attendu calmement qu’ils soient partis. C’est en effet après un claquement de porte, que je me suis décidé à sortir de mon trou. Je me suis jeté sur Elle. Suppliant son Dieu de la ramener à la vie mais en vain. Lentement, je suis descendu en bas pour découvrir quoi ? Le corps de mon père. Totalement perdu, je suis sorti de la maison en pyjama et pied nu, jusqu’à la maison de ma grand-mère. Tremblement, frisson. Je lui ai tout raconté …

Cinq ans ont passés depuis cette nuit. Ma grand-mère m’avait pris en charge. Elle m’a donc éduqué comme elle l’a pu. Echec ou non, je ne parlais plus, ne mangeait plus et ne dormais plus. Chaque nuit, je revoyais la scène du massacre de ma mère, du corps gisant de mon père. Une huître fermée qui refusait de s’ouvrir. Par chance, au cours de l’année de mes dix huit ans, je me suis un peu plus sociabilisé au monde. Les copines, les sorties, drogues, enfin tous les trucs qui touchent les majeurs à la fin de leur étude. Je me suis trouvé une tendance de « salaud » avec le monde. Ca ne faisait qu’empirer par la manipulation, l’ironie …

Vingt et un ans, j’apprends par une connaissance que les assassins de mes parents se trouvent en prison à Madrid. Et à ce moment là, que faire ? Rien. L’instinct prend le dessus. J’ai toujours eu une chance incroyable, le hasard me porte dans son cœur. Lors d’une soirée qui a malheureusement mal tourné, je me suis retrouvé en plein milieu d’une fusillade. Nombre de morts : six. La même arme. Réflexion rapide, le sourire aux lèvres. C’était tout ou rien. Je me suis donc emparé du fusil pour bien laisser mes empreintes. Les yeux fixés sur ma montre, cinq minutes plus tard, la police m’embarquait déjà. Où ça ? Prison de Madrid bien entendu.

Pour faire rapide, une fois là bas, j'ai patienté un an et j’ai volontairement tué de mes propres mains quatre hommes. Eux. Sans aucun regrets, ni remords. On me jugeait alors trop « nerveux/dangereux ( ?) » pour la propre sécurité des autres prisonniers. Je suis resté neutre en apprenant mon transfère ailleurs. Mais j’me suis senti con quand j’ai su que c’était au Luxembourg …

Autres- Je suis insomniaque. Je dors rarement une nuit complète, mais ce n’est pas pour cela que je suis fatigué, et puis, avec l’habitude. On s’y fait.

Dossier criminel


Crime(s) commit (ts)- 4 Meurtres + 6 dont on m'accuse ( sur ce point là, je plaide: Innocent! )
Matricule- 749204
Rang- Ironía sobre el corazón.
No. de cellule- (décidé par l'admin)
Personnage sur l'avatar- Walter C.


Dernière édition par Alexandre Uartemendia le Mar 21 Oct - 0:24, édité 2 fois
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Carl Hyde
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Carl Hyde


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MessageSujet: Re: ~Alexandre~   ~Alexandre~ Icon_minitimeSam 11 Oct - 3:04

Bonjour! Si tu as des questions n'hésite surtout pas, n'oublie pas de faire remonter ton sujet lorsque tu auras terminé! Merci
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MessageSujet: Re: ~Alexandre~   ~Alexandre~ Icon_minitimeSam 11 Oct - 12:32

Bonjour et bienvenue.

Ton avatar me dit quelque chose, tu viens de Sad ?

Quoi qu'il en soit, va signer les règles aussi ^^
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Alexandre Uartemendia
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MessageSujet: Re: ~Alexandre~   ~Alexandre~ Icon_minitimeDim 12 Oct - 4:16

Up !

Carl ~ Merci bien, mais pour un ancien joueur, je ne pense pas avoir de questions à poser Very Happy

Pyth ~ Ouaip, sur l'ancien Fow. Mais disons que là, j'ai totalement changer mon passé ._. [oui je sais, j'oublie toujours de signer pour mes nouveaux persos . Que Dieu m'pardonne >.<]

Nb: 03.15 du mat' ... Ah, et désolé pour la longueur du passé. Quand j'm'y lance, pas facile d'arrêter xD !
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Carl Hyde
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MessageSujet: Re: ~Alexandre~   ~Alexandre~ Icon_minitimeDim 12 Oct - 5:04

Je sais que tu es un ancien de Sad ... sinon j'aurais dit autre chose ... enfin je vais lire ta fiche demain matin, la je vais mourir dans mon lit ...
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MessageSujet: Re: ~Alexandre~   ~Alexandre~ Icon_minitimeDim 12 Oct - 18:41

Simple question que ne change rien à ma décision... J'ai lu cette fiche mais pas celle de Sad... Tu as changé de personnage en fait, non ?

Quoi qu'il en soit, tu es validé.

Tu seras dans le cellule 3.

N'oublie pas de te faire attribuer un travail.

Bon jeu.
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MessageSujet: Re: ~Alexandre~   ~Alexandre~ Icon_minitime

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