Cendres et Flammes
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

Cendres et Flammes

Un univers carcéral violent et sans limites où les prisonniers n'ont plus aucun droit.
 
AccueilDernières imagesRechercherS'enregistrerConnexion
-45%
Le deal à ne pas rater :
PC Portable LG Gram 17″ Intel Evo Core i7 32 Go /1 To
1099.99 € 1999.99 €
Voir le deal

 

 Eclats [Anastasiah Hernani Von Stern]

Aller en bas 
3 participants
AuteurMessage
Anastasiah H. Von Stern
704704 Blanche Colombe
Anastasiah H. Von Stern


Masculin Nombre de messages : 91
Age : 33
Age pas IRL : 30 ans
Ch/Cel : Cellule 7
Emploi/Crime : Homicide volontaire et prémédité sur la personne d'Eva Von Stern, épouse et soeur du condamné.
Date d'inscription : 02/03/2009

Eclats [Anastasiah Hernani Von Stern] Empty
MessageSujet: Eclats [Anastasiah Hernani Von Stern]   Eclats [Anastasiah Hernani Von Stern] Icon_minitimeMar 3 Mar - 20:53

Citation :
NB : le texte qui vient de la fiche de Didismus est en gris, les descriptions sont en rouge italique, et les corrections sont simplement en rouge.

Citation :
Deux des trois thèmes d'Any, sous lesquels j'écris, si ça vous dit ^^
One : https://www.youtube.com/watch?v=-JjmkGdL4UI
Two : https://www.youtube.com/watch?v=ewAsubnPXPo


Ils m'ont fait asseoir.
Glissé sous mes doigts inertes une chemise de carton rouge.
Demandé de rectifier de moi-même un dossier obsolète.
…Je ne veux pas.
Je ne veux pas, leur ai-je dit… Laissez-moi…
Laissez-moi, je ne veux pas avoir à… à relire toutes ces choses… je veux… je veux…
Oublier.

Ils m'ont intimé de me taire.
Ils ont fermés la porte à clef.
Je suis assis. Devant moi, une mince chemise de carton qui contient… qui contient ce qu'est…
Ce qu'était…
Ma vie.


Je passe mes doigts raides sur le grain grossier du papier.

Dossier médical

Nom et prénom :
Von Stern… Anastasiah Hernani... C'est un nom. C'est le mien. Quelle… quelle importance ? Il n'y a que… Il n'y a… rien. Je suis désormais le dernier des Von Stern.
Le Vidame Anastasiah Hernani Von Stern.
Simple particule que moi, n'ai jamais demandée, n'ai jamais désirée... Seigneur. Dire que j'étais le cadet… le dernier des frères… Je…

Le stylo rouge m'échappe, roule, tombe. Tintement mat.
Corriger.
Laisser ce qui convient.


Von Stern, Anastasiah Hernani. Hmm… Présenté comme cela, ce n'est pas très élégant. Mais bon. Je ne suis pas là pour cela. Non ? … Non ! Et par pitié… Ne cristallisez pas sur mon premier prénom. Féminin ? Mais les si les anges n'ont pas de sexe, à quoi bon s'arrêter à de telles vues ?… Qu'importe. Songez à d'autres choses, ce sera mieux. Pour vous. Seigneur…

Sexe :
Je vous vois venir. Cette plaisanterie sera mauvaise, alors gardez-là pour vos prières du soir. Elle vous sera peut-être pardonnée. Je suis un homme, et c'est ce type de détail qui dresse une barrière immonde, infranchissable, aux êtres de lumière que nous eussions pu êtres. Ciel, mais quelle déchéance…

Déchéance…

Age :
J'ai… Quel âge ai-je, déjà ? Ah… Eva est née le douze février 1976… Elle avait six ans de plus que moi.
J'ai donc maintenant vingt-neuf ans.

Traits physiques :
Est-ce vraiment important, toutes ces paperasses ? Ce microphone ? Ce n'est pas comme si j'avais un jour l'occasion de sortir d'ici…enfin de là-bas. Ne sommes-nous tous pas prisonniers de ce monde charnel ?…La procédure ? Ah. Ainsi soit-il… Let it be, donc. Si vous pouviez retirer votre main…merci. L'objet de mon corps –en opposition à son essence- est optimal, travaillé jour après jour au nom de la quintessence de l'être. La chair est le seul outil de notre âme. Alors, autant en prendre soin, non ? Ma carrure naturelle est donc renforcée et soutenue par des exercices quotidiens. J'ai hérité de la santé de fer des Von Stern, et aussi, je puis le dire, du faciès propre à ma dynastie. Pommettes très marquées, lèvres pleines presque féminines, regard bleu foncé, menton puissant. Je suis à l'image de mon père. Comme il était à l'image du sien. Par ailleurs, nous partageons une pigmentation un peu particulière. Une maladie bénigne rend nos cheveux blancs. Mais ce trait ne me déplaît pas. Au contraire, je préfère les porter longs, ne prenant nulle honte de leur blancheur, l'imposant, même, en usant. Il est un fait étrange dans le succès que ce détail physique jouit auprès de la gent féminine. Cette couleur s'accorde avec mon teint, laiteux, propre encore aux Von Stern.

Mais.

Les choses ont changé.
Les choses m'ont changé.

Oui, mes cheveux sont toujours blancs. Oui, j'ai toujours ma taille, ma carrure, mes lèvres, mes mains, mon cœur… Mon cœur ? Depuis quand, Seigneur, suis-je capable d'ironie ? Mais les…événements par lesquels je suis passé m'ont, disons, changé. En certains points seulement. Je demeure… extérieurement parlant… tout à fait reconnaissable, hormis… hormis certains détails. Qu'importe, qu'importe…

Ma main se fige. Je cesse d'écrire. A quoi bon ? Je… je n'en ai pas la force. Je n'en ai pas l'envie… Je n'en ai pas…
L'intérêt.
Laissez-moi.

Ah…
Il me semble que la porte s'est ouverte, qu'un homme est entré, et que cet homme m'a giflé.
Il me semble que je me suis écrasé au sol, que la porte s'est refermée, et que je tiens ma tête entre mes mains.
Il me semble que je pleure.
Non.
Mes yeux sont secs.


J'ai maigri.
Je ne vous expliquerai pas pourquoi. Il n'y a qu'une façon de perdre du poids. Dans mon cas du moins. A quoi bon... A quoi rien. J'ai vécu pendant un certain temps par l'entremise d'une aiguille à perfusion plantée dans mon bras.
Peut-être est-ce là que j'ai perdu le goût de m'alimenter.
Quoi qu'il en soit, le résultat est là. Certes, je ne suis pas encore d'une maigreur repoussante. Je n'ai pu empêcher d'entretenir un peu mon corps physique… une des seules activités qui me permettent de penser à autre chose… à ne penser à rien...car quand je ferme les yeux pour dormir, il y a des images, des images qui viennent. Alors je ne dors pas. Donc je fais autre chose. Je cours, si je le peux, sur un tapis de salle. Des pompes, des tractions, peut-importe. Tant que mes muscles souffrent assez pour me faire oublier ces marques sur mes poignets.
Mais la plupart du temps, je finis par m'évanouir.
Alors ils me remettent dans ce lit blanc.
Et ils m'attachent.
Et ils percent mon bras.
Et je dors.

Bref.
En résumé, hormis l'angle un peu trop brutal de mes hanches, hormis quelques côtes apparentes… je ne suis pas encore véritablement anorex… hors-normes. Mes bras sont encore vigoureux, et pour le moment, personne ne m'ennuie véritablement avec mon allure vaguement fragile… Je dirai simplement que je n'ai plus, désormais, une corpulence digne d'un homme mur, que je possédai tantôt.
Certains m'ont qualifié de gracile. D'autres de nerveux.
Moi, nerveux…

Mon visage…
Mon visage s'est légèrement creusé. Il n'y a là rien de bien regrettable. Il n'y a que mon regard… Je crois que j'ai perdu mes yeux. Je crois que j'ai perdu…ce qui différencie le regard de celui qui vit, de l'autre. Bleu sombre. Pas d'éclat. Baissés sous de longs cils blancs.
Je ne regarde pas ce monde.

Innocence
Pas de sens.
Crève.

Taille :
Hmm… Cela fait longtemps que je ne me suis mesuré. Je me sais relativement grand. Je dirais donc…un mètre quatre-vingt huit.


Poids :
Je crois pouvoir dire… soixante-treize kilos.
Soixante-quatre.

Handicap ou maladie physique :
Vous désirez commencer par les problèmes physiques ? Bien. Je suis atteint de canitie aiguë, et héréditaire. D'où la couleur de mes cheveux : blancs. C'est le seul symptôme, il n'y a donc aucun suivi médical.
Ici aussi, je suis obligé d'ajouter quelques... détails.
Ma simple faiblesse de coeur s'est révélée, à un moment -comment dire- relativement critique, être de fait une brachycardie. Il parait que mon coeur est... trop lent.

Celui de ma soeur était trop rapide.
Ce qui l'a emporté avant moi.
Génétique familiale.
Proximité allélique.

En conséquence m'a-t-on posé, il y a un peu moins de deux ans, un pacemaker. L'on me prévint qu'il devrait être changé dans huit ans, ou peu s'en faut.
Huit ans. Ah ? Répondis-je. Une telle durée ? C'est long, si long vous savez...
Si vous saviez.
Savez-vous, vous ?
Il m'est arrivé de porter la main à cet endroit, juste en dessous de ma clavicule gauche. En appuyant suffisament, l'on peut sentir quelque chose... étrange sensation. Outre la douleur due à la cicatrice. Ligne horizontale, recoupée par quelques traits fins. Cela m'évoque vaguement la forme d'une fougère.
Etrange.

Autres :
Je possède un tatouage un peu particulier pour un homme, d'après l'avis de mes proches, en général. Il s'agit d'une délicate colombe stylisée, étalant ses ailes sur mon ventre, cerclant mon nombril. Il symbolise beaucoup, pour moi... C'est un rappel. Celui d'un manque, d'un handicap, d'une déficience. Ce jeu de la nature qui fait que nous autres, hommes, sommes condamnés à ne jamais porter la vie. Ce phénomène m'a toujours fasciné. Douce étincelle de fertilité... Blanche colombe. Dernier détail notable, je possède une voix très douce, quoique marquée de mon accent germanique. Mais je peux oser penser que ça, vous vous en êtes déjà aperçus...
Sauf que, depuis près de deux ans, mes lèvres sont restées hermétiquement closes.
Dommage.

Et enfin... Dois-je mentionner les profondes cicatrices sur mes poignets ?

Dossier psycologique

Qualités :
Une perpétuelle douceur est le trait qui me définit le mieux. Mon caractère est à l'opposé de ce que pourrait laisser supposer un physique de boxeur (boxe anglaise, précisons). J'ai un tempérament calme, et posé. La violence me fait horreur, et me paraît des plus inutiles dans ce bas-monde. Malgré tout, je ne suis pas une lopette soumise. J'ai hérité de mes pères une forte ténacité, et ne supporte pas de me voir forcé à faire quelque chose qui irait à l'encontre de mes principes de non-violence. Quitte à être moi-même oppressant, par les mots, ou bien par d'autres usages moins orthodoxes. Je peux frapper, durement, mais seulement lorsque je sens l'intégrité de mes valeurs menacée. Et cela est rare. Je n'aime pas faire usage de mon corps pour créer un mal. Je dispose également d'un second degré très prononcé, qui me permet de faire face aux situations critiques sans m'énerver outre mesure.
Je suis resté, en ces points, à peu près le même homme. A ceci près que ces qualités, du moins si elles peuvent encore en conserver le nom, sont enfouies sous mon silence.
Je refuse d'imposer l'abandon que j'ai de la vie à ceux qui m'entourent. Ainsi, jamais je ne me plaindrai. Jamais je ne pleurerai. Jamais.
Je reste silencieux.
Ou je mens.


Défauts-:
Peut-être ma douceur ne sera-t-elle pas un atout dans ce pénitencier. Je m'en arrangerai. Parallèlement, il peut m'arriver d'être un poil orgueilleux. Voire susceptible, lorsque l'on touche au nom des Von Stern. J'ai tendance à ne pas prendre suffisamment en compte mon confort matériel. C'est à dire ? Que mon caractère ne m'oblige pas forcément à répondre lorsque l'on me malmène physiquement. La douleur charnelle n'est rien. Seul l'esprit pur compte. Je suis lent à me battre, mais ne fuis jamais. C'est pourquoi j'ai relativement tendance à m'en prendre sur la gueule, si vous me pardonnez l'expression. Des même, ce manque de considération a tendance à irriter mes adversaires. Au plus haut point. En général, l'adversaire ignoré n'en frappe que plus fort, si l'envie le prend. Mais quelle importance ?

Il y a aussi mon détachement du monde, des choses. De la haine, surtout. Cela n'était, il y a quelques années, qu'une qualité. Mais poussé à ces extrêmes limites, ce trait de caractère n'est finalement qu'un simple et délicat désintérêt de la vie.

Aime- :
J'aime à saisir les instants de grâce. Ma profession de photographe suit une vocation, un attrait pour les prises de beauté, la perpétuelle quête de l'âme de l'image. Je suis un chasseur d'Anges. Dans chaque photo réside une histoire, une âme, un clin d'œil. C'est l'esprit fugace, absent déjà, mais si cruellement nécessaire à la prise d'une image de ce monde… C'est l'éclat nacré d'une aile d'Ange, sillon intangible sur le coin de notre cornée… L'âme d'une photographie. Je crois, et j'aime ce Ciel qui nous insuffle douceur et compassion. Mais les Anges ne sont pas que sur les images… Je suis persuadé que cet instant de vide après l'exaltation des sens charnels –voyez-vous de quoi je parle ?- nous rapproche un peu de l'état quasi létal de la quintessence de l'être angélique. Voilà mes goûts. La recherche.
J'aimais.

N'aime pas- :
J'abhorre la violence. Surtout venant de ma personne. Je répugne à faire usage de mes mains pour faire le mal. De la part d'une tierce personne sur moi, ce sentiment s'atténue. Enfin, cela dépend. Mon calme apparent dissimule généralement un état allant de l'indifférence blasée à la colère rentrée. Et c'est cela qui m'ennuie encore plus, car sous la pression, mes sentiments peuvent exploser, et mes actes m'échapper. Aussi, je n'aime pas que l'on me force à agir contre ma volonté. Je sais, ce genre de détail risque d'être conflictuel. Mais peut-être pourrais-je me contrôler, en priant en mon âme et conscience qu'aucune âme ne désire me soumettre à sa volonté.
Malgré la légère...évolution de ma personnalité, ce dernier point est encore d'actualité. Jusqu'à un certain point, il est vrai que je pourrais me laisser malmener. Mais si d'aventure cette fragile et subjective limite de mon amour propre était violée... Je me reveillerais.
Je me reveillerai.
Je... J'espère ?

Comportement avec les gens- :
La plupart du temps, je suis particulièrement doux, voire prévenant avec les gens qui m'entourent. Malheureusement, un comportement violent de la part d'autrui peut me pousser à bout. S'en suivent des conséquences désastreuses. Bref. Quoi qu'il en soit, j'apprécie la compagnie, aime discuter, bien que j'aie de temps à autres l'ultime besoin de me murer dans un silence stable. Ce genre d'événement se produit lorsque je crois avoir décelé l'Ange de l'image, ou l'Ange des sens.
Ce silence a d'ailleurs gagné du terrain. Quoique bien plus fermé qu'auparavant, à la limite de l'indifférence la plus indescente quant au mal qu'on puisse me faire, si un détenu quelconque a besoin de moi, encore une fois, je me réveillerai.

Il est des matins
Où j'aimerais avoir quelqu'un
Qui me laisserait poser ma main sur sa joue
Et elle verserait se peine dans mon coeur
Et la peine qui est dans le mien
Sans plus de place
Fuirait.
Mais il n'y a personne.
Personne.


Dernière édition par Anastasiah H. Von Stern le Mer 4 Mar - 10:03, édité 10 fois
Revenir en haut Aller en bas
Anastasiah H. Von Stern
704704 Blanche Colombe
Anastasiah H. Von Stern


Masculin Nombre de messages : 91
Age : 33
Age pas IRL : 30 ans
Ch/Cel : Cellule 7
Emploi/Crime : Homicide volontaire et prémédité sur la personne d'Eva Von Stern, épouse et soeur du condamné.
Date d'inscription : 02/03/2009

Eclats [Anastasiah Hernani Von Stern] Empty
MessageSujet: Re: Eclats [Anastasiah Hernani Von Stern]   Eclats [Anastasiah Hernani Von Stern] Icon_minitimeMar 3 Mar - 21:59

Maladie ou handicap mental-:
Hmm… Est-ce vraiment indispensable ? Non pas que cela m'ennuie… Vraiment ? Ah. Donc…je suis atteint d'un trouble de la personnalité schizotypique. Enfin, selon vos psychiatres. Ce genre de chose n'a pas véritablement de prise sur la réalité, et je n'en ressens aucune gêne. Qu'est-ce que c'est ? Hmm, de mémoire, je ne m'en souviens plus… C'est dans ce dossier… Voilà, cette page. "Le sujet aborde le monde de manière surnaturelle, à partir d'expériences de dépersonnalisation et d'idées de référence non délirantes. Son langage est orienté sur l'ésotérisme. Les émotions peuvent être exprimées de façon explosives ou être inexistantes." Hmm… Je trouve cela un peu excessif, tout de même. Sincèrement, je suis très sceptique. Et si jamais cet état mental est à l'origine de ma douceur…où est le mal ?

Nouveaux psychiatres, nouvelles pathologies.
Ma tentative de suicide, mon comportement actuel, ont convaincu mes médecins de mon état dépressif. Mes difficultés à m'alimenter leur laissent à penser que je me laisse mourir.
Ah.

Valeurs-:
Mes valeurs ? J'ai une véritable attention par rapport à mon nom, Von Stern. Rapport à ma qualité de noble autrichien, bien que je ne tire aucune fierté mal placée de cet héritage purement sanguin. En somme, je sui prompt à défendre mon honneur, et celui de ma famille. Parallèlement, je suis très attaché à l'indépendance, et à la liberté… Ce qui ne semble pas s'accorder avec ma nouvelle condition de détenu, me trompé-je ? Enfin, je suis un adepte de la non-violence. Peut-être l'avez-vous déjà remarqué. Du moins, jusqu'au point où mon caractère peut me porter.

Tics-:
J'ai tendance à toucher du doigt la croix de bois blanc que je porte autour du coup, voire à la porter à mes lèvres, dans les moments de crise. Peut-être aussi ai-je l'habitude de replacer fréquemment mes lunettes, lorsque je les porte. Elles ne me sont utiles que lorsque je lis, ou bien que je prends un photographie. Je les porterai peu, en somme, dans ce pénitencier.

Oui, c'était ce que j'avais l'habitude de faire. Mais ma croix... je ne l'ai plus. Qu'en ai-je fait, Seigneur, qu'en ai-je fait...
Ah... Pourquoi me posé-je cette question ? Je le sais. Je ne peux pas ne pas le savoir. Il est des choses qui ne s'oublient pas.
N'est-ce pas ?
C'était... c'était ce jour. Le jour où j'aurais dû...
Je me souviens...

Extrait de Sadismus, sujet "Blanc, Noir... Rouge" avec Brigitte
"Satisfait, je finis par ranger le nombre assez appréciable de clichés dans l'enveloppe. Néanmoins, j'en conserve une. Une seule. Je la retourne, l'appuie sur le banc, et reprends une dernière fois mon stylo. Mon dernier mot.
"Merci."
Je contemple une dernière fois l'image. De forts contrastes, entre des tons chauds, et un noir parfait. Il y a ces mains clairement relâchées par une sommeil profond, ces longues mains presque inoffensives en cet instant précis. La lueur jaune d'une lampe de chevet trop faible frappe ces êtres au repos, étend une ombre apaisante sur un avant-bras aux veines clairement apparentes. Le lumière s'accroche finalement à la couleur de quelques mèches enserrées autour de ces bras ainsi que des entraves. La couleur rouge. Etrange vibration. Sentiments mitigés.
Je glisse finalement le cliché dans une autre enveloppe déjà annotée du nom de son destinataire, et y ajoute la croix blanche que je portais l'instant d'avant. Une des prises dont je suis le plus satisfait… faite lors de la première nuit.
Adieu, Pythagoras".


Où est-il ?
Il m'arrive de me le demander. Je sais que la prison de Sadismus a clos pour la dernière fois ses portes de fer il y a plusieurs mois déjà. Ce pourquoi, après mes séjours respectifs à l'hopital, puis à l'asile, je me suis vu transféré à Cendres et Flammes.
Certainement est-il allé retrouvé le Duc. Stephen de la Flaam. Je suis heureux de cela. Je veux dire... si Sadismus n'avait pas fermé, il m'aurait vu... il m'aurait vu dans cet état.
Et je ne veux pas que cela se produise.
Je crois qu'il est la dernière personne qui ne doit jamais, jamais, voir à quel point j'ai failli, me suis brisé contre le récif de ma survivance.

Passé-:
Je suis né en Autriche, au sein d'une de ce familles à la sulfureuse noblesse, marquée de crimes variés, de relations mitigées, souvent consanguines , d'égos tant ancestraux qu'absurdement développés, et autres joyeusetés. Comme ma flopée de frères et sœurs, j'ai grandi, choyé, entouré de milles attentions, au château de Hohenwerfen. Possession bucolique de la famille Von Stern, dans la province de Salzburg. Je suis le cadet de la fratrie, ma tendre mère ayant perdu la vie en me donnant naissance, mon père refusant catégoriquement de reprendre femme. Amour. Qu'il fut celui d'un amant, ou celui d'un frère, l'amour de mon père à sa sœur fut total, éternel. C'est pourquoi j'héritai du nom d'Anastasiah, à sa mémoire, en son honneur, malgré les genres, malgré les traditions. Ce détail ne m'a jamais importuné. Mon père –Samuel Von Stern- croyait en l'éternité. Non pas en la renaissance des chairs, mais en la quintessence de l'âme. Ich bin ewig ! Je suis éternelle ! Telle fut l'épitaphe d'Anastasiah Von Stern, première du nom. Je la porte en moi, cette mère ivre de vie. C'est peut-être pourquoi mon père m'aima plus encore, m'instruisant, m'élevant, et surtout, me transmettant ses valeurs, ses croyances, et, surtout, sa quête. Celle des Anges. De père en fils, et ce depuis des générations, les Von Stern se transmettaient cet idéal. Aies l'œil des Anges, mon fils, aies l'amour des Anges, mon fils, aies l'espoir des Anges, mon fils…

Samuel mourut pourtant bien vite, emporté par une maladie congénitale affectant son cœur. Et c'est par les gènes trop proches de ses propres parents que mon père quitta ce bas-monde, vallée des larmes des pécheurs non-repentis. J'avais dix-huit ans. J'étais adulte, libre, et porté par les idéaux familiaux. Je n'eus pas le temps d'être triste. Il n'eût pas voulu de cela. Lui aussi, est éternel. A travers mes traits, à travers mon corps, à travers ce nom qui est le nôtre. Ich bin ewig ! Encore.
Toujours.

C'est mon frère aîné qui prit la charge de la demeure Von Stern. David. Je lui en fus gré. Les préoccupations pécuniaires m'ont toujours laissé de marbre, me glaçant d'ennui. J'avais d'autres inclinations. Le désir de voyager, de voir ce monde, de trouver les Anges de mon père. Et surtout, l'amour. Eva Katharina, ma sœur, ma tendre sœur. Selon mes frères plus âgés, elle était le portrait exact de ma défunte mère. L'histoire des Von Stern se répétait, encore. Le même couple, le même amour. Ich bin ewig ! Je devins photographe professionnel, couvrant les faits d'actualités. Je travaillait d'abord en tant que reporter de guerre. Kosovo, Afghanistan, Côte d'Ivoire… Bien d'autres encore. Je cherchai. Je cherchai mes Anges, perdus dans le sang, et la violence. La plupart des photos parurent dans un journal clandestin, à la fois pacifiste et visionnaire. "Mémoires des Anges"… Je fus toutefois forcé de rentrer en Autriche, au bout de six ans. Eva était tombée gravement malade. De la même souffrance que mon père. Coma. Je refusai.

Je refusai de la voir partir ainsi, perdu dans une forêt de plastique et de papier vert, droguée jusqu'à son dernier souffle par des soins palliatifs terribles, à défaut d'autre chose. Je refusai. Je devins photographe de mode, et acquis une certaine réputation. Je pouvais être proche d'Eva, venir contempler sa beauté inconsciente dès que le désirais. J'eus plusieurs modèles ecceptionnels, mais aucun n'égalait mon Eva. Néanmoins, je pus m'entraîner sur eux, captant leurs Anges personnels.
Je me préparais.
Un soir d'hiver –c'était, je crois, le trente novembre- je l'enlevai, l'arrachant aux blouses, au blanc à la froideur de ces masques de papier. Il neigeait, je m'en souviens. Il neigeait. Et elle dormait, ma tendre femme, ma demi-mère, ma future enfant. Malgré tout, je l'aimai une dernière fois, dans le secret immaculé d'un nuit autrichienne. Mon esprit s'ouvrit, son corps aussi. Et je vis son Ange m'implorer libération. Ce furent la rougeur vermeille des ailes nouvelles sur le dos de ma sœur qui le libérèrent. Il s'en fut, en même temps que l'ultime souffle de ma bien-aimée.
C'est là la fin de mon histoire.


Sadismus Jail


Je passai une année de ma vie à Sadismus.
Condamné à perpétuité, la langueur du temps, son triste décompte, ne me faisaient pas peur. Il ne me restait plus rien du monde extérieur. Certes, j'avais encore trois frères et sœurs, mais je décidai de rompre tous contacts avec eux. Je ne voulais pas que mon crime n'entache la fratrie Von Stern. J'avais agi de mon fait, seul, indépendamment de ma noble famille, comme il en avait toujours été.
Je refusai leurs appels, ne répondis pas à leurs lettres.
Je crois qu'ils ne m'en voulurent pas. Qu'ils comprirent.
Je fis ceci pour David, notamment. L'aîné des Stern, héritier premier. Il était… il était le dépositaire du titre de Vidame que ceignait le nom des Von Stern. Moi, le troisième et dernier garçon, n'hériterait jamais d'un pareil titre. Cela me convenait tout à fait. Je n'avais que faire de telles reconnaissances.

Je décidai de mourir.
Non pas par désespoir, par peur, par haine. Non. J'avais accompli tout ce que je pouvais accomplir. J'avais aimé ce qui pouvais l'être. Dédaigné ce qui devait l'être. J'avais vécu, je mourrais. L'ordre naturel des choses.
Heureux.
Accompli.

Ma rencontre avec le jeune Pythagoras de la Flaam reporta temporairement mon projet. Il m'offrit la possibilité d'achever l'œuvre de ma vie, dont j'avais cru la perte définitive, et acceptable. Sur le moment. Je me rendis compte, à travers l'appareil photo qu'il me fournit, que je n'avais pu véritablement abandonner la photographie. En échange de ceci, il me demanda… il me montra… comment m'expliquer… Il voulut de moi, en quelque sorte… Il eut… la délicatesse de ne pas aller trop loin la première nuit. Je n'eus pas le temps de véritablement comprendre, ou savoir si oui ou non je… Passons.

Peu de temps passa avant que je ne réalisa suffisamment de clichés pour me sentir satisfait.
La chose est simple.
J'incisai mes poignets.
On me découvrit.
Me ramena à la vie, malgré la brutale étreinte d'un arrêt cardiaque, à peine mes blessures refermées.
Une fois encore, je m'en sortis.
Je fus tout d'abord transféré dans un hôpital assez proche… on m'appris à mon réveil que je souffrais d'arythmie cardiaque. Je subis une deuxième intervention, me réveillai trois jours plus tard.
En vie.

Ne sachant que faire d'un criminel suicidaire, on m'envoya dans un hôpital psychiatrique sécurisé. Je passai mes journées sanglé, le corps et l'esprit embrumés par trop de médecines, trop d'événements… Entre inconscience brumeuse et brusques accès de lucidité.
C'est ainsi que je me souvins… qu'en libérant ma sœur j'avais anéanti ce qu'elle portait en elle. J'avais appris le jour de ma mort… je veux dire ce jour-là… qu'Eva était enceinte.
Je crois que ce fut le déclencheur. D'une sorte de chute. Enfin, je ne sais pas. Elle et moi faisions particulièrement attentions. Pas de risque, pas d'enfant. Nous avions peur de transmettre à notre fille, ou notre fils, un quelconque maladie… Nous étions frères et sœurs… vous comprenez ?
Alors cet enfant-là… Comment ?
Une erreur ?
Autre chose ?

Alors survint… la fin.
Mes deux frères, et ma sœur décidèrent de venir me voir.
David. Franz. Sarah.
Ils prirent place dans la même voiture. Le vingt-deux octobre de cette année… Je ne sais pas si vous avez regardé les informations, ce jour-là ?
…L'autoroute. Un accident.
Huit morts.

On m'a transféré à Cendres et Flammes.
Je… Je suis seul.


Dossier criminel

Crime(s) commit(ts)-:
Homicide volontaire sur la personne d'Eva Katharina Von Stern, précédé de sévices corporels. Présomption de viol sur la même personne. Soupçonné de quatre autres meurtres, à savoir ceux de Nina Rick, Tanja Mélania, Magdanela Red, Frank Farouge, modèles posant pour le photographe Von Stern. (suite à un défaut de preuves tangibles, ces dossiers n'ont pas influencé la décision finale des jurés.)

Matricule- : 704704
Rang- : Blanche Colombe
No. de cellule- (décidé par l'admin)
Gang désiré : Aucun
Personnage sur l'avatar-: Il s'agit de Yoshiki Hayashi, leader, batteur, pianiste du très grand groupe X-Japan. Ecoutez-les, sinon je vous grogne (quoi, pub, hein, qui, quoi ? :3) Portrait pris sur Deviantart, et la page de l'auteur : http://emy-chan07.deviantart.com/art/Yoshiki-60885139)


(NB : deux remarques : j'ai un peu speedé la fin... j'espère que ça ira. Je ne me sens pas trop de décrire longuement le séjour à l'hôpital d'Any, etc. préférant l'inclure par petite touche dans mes rps... si ça va pas, j'étoffe ^^
et de deux, j'ai choisi de considérer que Pyth et Any n'avaient passé que la première nuit ensemble, et qu'ils avaient principalement dormi/parlé, ça te va ?)


Dernière édition par Anastasiah H. Von Stern le Mer 4 Mar - 9:44, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
Pythagoras de la Flaam
6277 Directeur Sadique
Pythagoras de la Flaam


Masculin Nombre de messages : 591
Ch/Cel : Dans mes appartements privés...
Emploi/Crime : Directeur de la Prison
Date d'inscription : 29/09/2008

Eclats [Anastasiah Hernani Von Stern] Empty
MessageSujet: Re: Eclats [Anastasiah Hernani Von Stern]   Eclats [Anastasiah Hernani Von Stern] Icon_minitimeMer 4 Mar - 2:10

Citation :
j'ai choisi de considérer que Pyth et Any n'avaient passé que la première nuit ensemble, et qu'ils avaient principalement dormi/parlé, ça te va ?

Un peu que ça me va ^^

Par contre, je veux bien que tu m'expliques mieux cette partie là :

Citation :
Je glisse finalement le cliché dans une autre enveloppe déjà annotée du nom de son destinataire, et y ajoute la croix blanche que je portais l'instant d'avant. Une des prises dont je suis le plus satisfait… faite lors de la première nuit.
Adieu, Pythagoras

Je n'ai pas lu ton rp avec Brigitte... C'est quoi cette histoire de photo la "première nuit" ?

Ah et... Pyth sait-il que Any a tenté de se suicider ?

Quoi qu'il en soit, je te valide, bien évidemment. Laisse tomber les fautes, j'en ai pas trouvé beaucoup c'est négligeable ^^

Tu seras dans la cellule 7 mon Ange (le mot n'est pas choisi au hasard...)

Il va souffrir, Pyth quand il va te voir, c'est terrible...

Je te laisse commencer le rp de ton arrivée ^^
Par contre, je risque de mettre un certain temps à répondre, tu peux commencer un autre rp à côté... Il me semble que Irvin (joueur de Moxie et Charity ^^) voulait jouer avec toi, aussi ^^

Bienvenue parmis nous !
Je suis super contente que tu sois là !

Pythagoras.
Revenir en haut Aller en bas
http://the-jail.jdrforum.com
Anastasiah H. Von Stern
704704 Blanche Colombe
Anastasiah H. Von Stern


Masculin Nombre de messages : 91
Age : 33
Age pas IRL : 30 ans
Ch/Cel : Cellule 7
Emploi/Crime : Homicide volontaire et prémédité sur la personne d'Eva Von Stern, épouse et soeur du condamné.
Date d'inscription : 02/03/2009

Eclats [Anastasiah Hernani Von Stern] Empty
MessageSujet: Re: Eclats [Anastasiah Hernani Von Stern]   Eclats [Anastasiah Hernani Von Stern] Icon_minitimeMer 4 Mar - 10:22

*sautille comme un dahut*
Merci de la validation <3

Alors alors...
De fait, lors du rp que nous avions commencé, Pyth et An dorment ensemble. J'ai imaginé que ce dernier, s'étant réveillé avant Pyth, avait pris une photo de lui, endormi. Lors de sa tentative, il prépare une enveloppe à son intention, y glisse cette photo avec son mot derrière, et sa croix en bois. C'est tout ^^

Si Pyth sait qu'An a tenté de se suicider... Heuu... Je sais pas trop. Mais comme ça, je dirais que oui. Etant donné qu'An lui en avait vaguement parlé lors de notre rp, qu'il a envoyé la lettre et tutti quanti, d'autant plus qu'An a disparu de la criculation avant la fermeture de Sad. Et enfin... peut-être que Pyth lit les dossiers des nouveaux arrivants ? (j'ai écrit un certain passage dans la probabilité que ce soit le cas... celui où Any dit ne pas vouloir croiser Pyth, pour ne pas lui faire voir ce qui lui est arrivé, ce qu'il "est devenu".)

Le faire souffrir ? Errrrm. Principe du miroir, An va s'en vouloir...

Je commencerai le rp tout doucement. Je pense que ce ne sera pas pour cette fin de vacances... j'vais pas tarder à aller travailler d'ailleurs. Je suis vraiment enchantée, que de réécrire, et surtout de faire un rp avec toi ^^
Et pour Mox, je dis oui, oui, uuuuuui, je veux u..ù

"Mon Ange", étrange étrange, huhuh. u..û Je dis comment, moi, "Démon" ? XD
Bref. (je note que Pyth nomme Raphael de la même façon, heh u..û)
(merci pour les fautes heeeh. J'ai juste corrigé un nom sur lequel j'avais plantouillé. Samuel c'était le père. Le frère aîné, c'est David)

C'est tout... Oui, c'est un plaisir d'être à nouveau (quoique à un tiers) parmi vous.
Bonne journée ^^
Revenir en haut Aller en bas
Pythagoras de la Flaam
6277 Directeur Sadique
Pythagoras de la Flaam


Masculin Nombre de messages : 591
Ch/Cel : Dans mes appartements privés...
Emploi/Crime : Directeur de la Prison
Date d'inscription : 29/09/2008

Eclats [Anastasiah Hernani Von Stern] Empty
MessageSujet: Re: Eclats [Anastasiah Hernani Von Stern]   Eclats [Anastasiah Hernani Von Stern] Icon_minitimeMer 4 Mar - 12:17

Oh ! Tu as lu mes rps, ma parole...

J'ai eu un bug quand tu as dit Raphael... Mais c'est vrai que j'ai nommé comme ça l'amant que Pyth a pris parmis le prisonniers... Jusqu'à l'arrivée d'Ed en tous cas...

Et bien, tu ouvres ton/tes rps quand tu veux Very Happy

*love you*
Revenir en haut Aller en bas
http://the-jail.jdrforum.com
Irvin Durand
3615 Additional Cock
Irvin Durand


Masculin Nombre de messages : 1441
Age : 32
Age pas IRL : 25
Ch/Cel : Quatre.
Loisirs : Le tricot.
Date d'inscription : 07/10/2008

Eclats [Anastasiah Hernani Von Stern] Empty
MessageSujet: Re: Eclats [Anastasiah Hernani Von Stern]   Eclats [Anastasiah Hernani Von Stern] Icon_minitimeMer 4 Mar - 17:06

* A sursauté en lisant "Raphaël l'amant de Pyth". *

Putain, j'oublie parfois que vous êtes folles. n.n Légitimement, je devrais me suicider pour un oubli aussi impardonnable je crois.
Enfin j'appellerai mentalement ce PNJ '"Jean-Jean Michel de la Papaye, le petit poney bleu", et il aura les yeux couleur pelage de furet et les cheveux jaune fluo (et pas auburn), pour ma sérénité d'esprit, m'voyez.
Revenir en haut Aller en bas
Anastasiah H. Von Stern
704704 Blanche Colombe
Anastasiah H. Von Stern


Masculin Nombre de messages : 91
Age : 33
Age pas IRL : 30 ans
Ch/Cel : Cellule 7
Emploi/Crime : Homicide volontaire et prémédité sur la personne d'Eva Von Stern, épouse et soeur du condamné.
Date d'inscription : 02/03/2009

Eclats [Anastasiah Hernani Von Stern] Empty
MessageSujet: Re: Eclats [Anastasiah Hernani Von Stern]   Eclats [Anastasiah Hernani Von Stern] Icon_minitimeMer 4 Mar - 22:18

"j'oublie parfois que vous êtes folles"
Xixie, tes paroles sont à double sens, telle l'autoroute Arles-Marseille. -.-
Hmm hmm... un problème avec les yeux veeeeerts ?
...
Gaaaaackt.


Et Pythou, ui, j'ai lu certain de tes rps. Comme on dit (pas) "On ne chasse pas le raton sans explorer la fôret"
C'est pas les idées qui manquent pour l'ouverture... je la ferai aux portes... quand je la ferai...
*love u too*
Revenir en haut Aller en bas
Irvin Durand
3615 Additional Cock
Irvin Durand


Masculin Nombre de messages : 1441
Age : 32
Age pas IRL : 25
Ch/Cel : Quatre.
Loisirs : Le tricot.
Date d'inscription : 07/10/2008

Eclats [Anastasiah Hernani Von Stern] Empty
MessageSujet: Re: Eclats [Anastasiah Hernani Von Stern]   Eclats [Anastasiah Hernani Von Stern] Icon_minitimeJeu 5 Mar - 19:55

Nan, les miens sont gris/verts/marron. Ranafout des yeux verts, et ranafout de cet autoroute tout vilain. Et Jean-Jean je l'encule. Avec un pied de biche. n.n
Revenir en haut Aller en bas
Anastasiah H. Von Stern
704704 Blanche Colombe
Anastasiah H. Von Stern


Masculin Nombre de messages : 91
Age : 33
Age pas IRL : 30 ans
Ch/Cel : Cellule 7
Emploi/Crime : Homicide volontaire et prémédité sur la personne d'Eva Von Stern, épouse et soeur du condamné.
Date d'inscription : 02/03/2009

Eclats [Anastasiah Hernani Von Stern] Empty
MessageSujet: Re: Eclats [Anastasiah Hernani Von Stern]   Eclats [Anastasiah Hernani Von Stern] Icon_minitimeJeu 5 Mar - 21:23

...
Je te sens bien poète todaay, garçon XD
...
Allez, encore une fois... Gaaaackt.
(hmm Jean-Jean, arrête, c'est le nom de quelqu'un que je connais >.<)
Revenir en haut Aller en bas
Irvin Durand
3615 Additional Cock
Irvin Durand


Masculin Nombre de messages : 1441
Age : 32
Age pas IRL : 25
Ch/Cel : Quatre.
Loisirs : Le tricot.
Date d'inscription : 07/10/2008

Eclats [Anastasiah Hernani Von Stern] Empty
MessageSujet: Re: Eclats [Anastasiah Hernani Von Stern]   Eclats [Anastasiah Hernani Von Stern] Icon_minitimeVen 6 Mar - 0:19

Ouais mais un Raphaël auburn avec une voix de fiote, j'en connais un aussi, intimement même, alors ça va rester Jean-Jean.
Revenir en haut Aller en bas
Anastasiah H. Von Stern
704704 Blanche Colombe
Anastasiah H. Von Stern


Masculin Nombre de messages : 91
Age : 33
Age pas IRL : 30 ans
Ch/Cel : Cellule 7
Emploi/Crime : Homicide volontaire et prémédité sur la personne d'Eva Von Stern, épouse et soeur du condamné.
Date d'inscription : 02/03/2009

Eclats [Anastasiah Hernani Von Stern] Empty
MessageSujet: Re: Eclats [Anastasiah Hernani Von Stern]   Eclats [Anastasiah Hernani Von Stern] Icon_minitimeVen 6 Mar - 0:23

...nan. Jean-Justine. Au moins.
(Raphael?)

Jean-Justine. Justine-Jean. Jujean. Juge. Jujube.
(bon, j'arrête là le flood stérile et je vais étudier ma dissection de criquet)
Revenir en haut Aller en bas
Irvin Durand
3615 Additional Cock
Irvin Durand


Masculin Nombre de messages : 1441
Age : 32
Age pas IRL : 25
Ch/Cel : Quatre.
Loisirs : Le tricot.
Date d'inscription : 07/10/2008

Eclats [Anastasiah Hernani Von Stern] Empty
MessageSujet: Re: Eclats [Anastasiah Hernani Von Stern]   Eclats [Anastasiah Hernani Von Stern] Icon_minitimeVen 6 Mar - 20:31

Finalement j'ai appelé un pote à moi Jean-Jean, donc je renomme ce PNJ... Sac à foutre !
Et moi j'm'appelle Bernard.
Enchanté.
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé





Eclats [Anastasiah Hernani Von Stern] Empty
MessageSujet: Re: Eclats [Anastasiah Hernani Von Stern]   Eclats [Anastasiah Hernani Von Stern] Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 
Eclats [Anastasiah Hernani Von Stern]
Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Cendres et Flammes :: A l'air libre :: Présentations :: Présentations Validées des Prisonniers-
Sauter vers: