Présentation ~ Damara

Dossier médical

Nom & prénom : Damara Galanis. (Explication; dans le passé)

Sexe : Femme

Âge : 27 ans

Traits physiques : Je n’aime pas vraiment faire des commentaires sur mon physique, bien que je sais moi-même qu’il n’ai pas si horrible que cela. Petit effort ? Bon d’accord : Je ne suis pas très grande, enfin je reste tout de même dans la moyenne. Au niveau des formes, j’ai tout ce qu’il faut, là où il faut dirons nous, ni grosse ni maigre, juste bien dans sa peau. J’ai de long cheveux sombre qui me tombe dans le bas du dos, à l’avant coupé en dégradé. La plus part du temps, ils ne sont pas si lisse qu'ils n'y paraissent. Plutôt ondulés même. Mes yeux sont bleus clair, mon nez est petit et bien droit, mes lèvres dans la moyenne. Et tout cela dessiné sur un petit minois ovale aux traits légèrement marqués. Au niveau des bijoux de familles, rien à en dire, ma peau est assez claire. En somme, je suis physiquement dans la norme.

Taille : 1,65m

Poids : 56 kilos

Handicap ou maladie physique : Aucun

Autres : Je possède un petit tatouage dans le creux de l’omoplate gauche. Celui-ci représente un papillon posé sur une anémone de Grèce. Comme tout à une signification, la mienne sera très simple à comprendre. Ma défunte mère adorait tout ce qui se portait à la faune et flore sauvage. L’anémone symbolise la mort et le renouveau de la nature, et le papillon pour la simple et bonne raison que ma génitrice adorait cet insecte volant. Je porte de temps en temps des lunettes pour lire, enfin c’est surtout pour le confort, je n’y suis pas forcé.

Dossier psychologique

Qualités : Je suis une personne dite calme et posée. Je ne m’emporte jamais, c’est contre ma nature. Étant très sociable, je me lie facilement d’amitié avec les gens de tout genre. J’aime donner mon avis sur un sujet qui me tient à cœur, ce qui fait que j’ai la conversation facile. Je ne peux laisser quelqu’un sur le côté, mon côté maternel prend souvent le dessus. J’ai un soupçon d’entêtement quand il s’agit d’aider les autres, à savoir que je ne les laisse jamais tomber. Mon esprit est très ouvert, j’emmagasine facilement toutes les informations qu’on me donne. Je ne laisse jamais –ou très rarement- un sentiment de faiblesse se dessiner sur mon visage, ce qui en somme est une preuve que je suis une femme forte. Étant très loyale, jamais je ne trahirais quelqu’un. Habituellement, je suis d’humeur agréable et d’une politesse remarquable.

Défauts : Hm voyons voir. Que puis-je avoir comme défaut … Malgré que j’ai le contact facile avec les gens, je suis tout de même –voir énormément- sur mes gardes. Je me méfie facilement des personnes qui n’ont pas une bonne tête. J’ai une affreuse tendance à relater mentalement mon passé. Quand je ne suis pas d’excellente humeur, je suis capable de me renfermer sur moi-même et de repousser tout le monde pour un oui ou pour un non. Je n’aime pas être l’objet d’une ironie mal placée, tellement que je préfère ignorée totalement la situation. Pas très polie me direz-vous …

Aime : J’aime la simplicité. Ceci résume assez bien les choses je pense. Mais puisque je ne suis pas dupe, autant rallonger la liste. J’aime beaucoup l’histoire, surtout tout ce qui touche à la méditerranée (Grèce, Espagne, …). J’ai une attirance toute particulière envers les livres philosophiques surtout quand ceux-ci parlent de Socrate, Aristote, Platon, … J’aime beaucoup le chocolat, mon petit pêché mignon. Je suis totalement sous le charme des hommes ayant une personnalité complexe. J’adore aussi les enfants ( allez savoir pourquoi … ). Je ne suis pas difficile, j’adore parler avec les gens.

N'aime pas : Je suis une grande humaniste, à telle point que je hais tout ce qui est néfaste dans ce monde. L’injustice me répugne autant que l’intolérance, je ne suis pas une grande sensible mais il m’est impossible de rester les bras croisé quand je vois quelqu’un se faire rabaisser sous mes yeux. Je n’aime pas les gens qui se croient plus haut que tout le monde, l’égalité est l’un de mes principes. Ne parler jamais d’amour, je n’y crois plus. J’ai une sainte horreur d’avoir du sang sur moi, pas que la vue de cela me gêne, mais le fait que cela provienne de moi me donne mal au ventre.

Comportement avec les gens : Je suis une sociable invétérée, qu’importe la provenance des gens, je serais toujours aussi sympathique avec eux. Par contre, si l’aspect extérieur de celle-ci ne m’est pas très amical, je peux me montrer plus méfiante. Je traite les prisonniers comme ils sont à la base, c'est-à-dire des être humains et non comme des animaux. Mes collègues pareillement, je me montre amicale et serviable – enfin sans exagération-.

Valeurs : « La valeur d'une personne se mesure toujours au bonheur qu'elle donne aux autres » … Assez parlant non ?

Tics : Non, rien à signaler.

Handicap mental : Idem

Passé : Avant de raconter ma vie, autant raconter celle de mes très chers parents. Ma mère, Hélène était une femme qui n’aimait pas beaucoup les progressions technologiques, elle disait que cela détruisait la nature. Vous l’aurez deviné, ma mère était une naturaliste à grande échelle. Mon père Sebasten, était justement un historien hors paire, il aimait tout ce qu’il tournait autour de l’histoire de la petite ville d’Athènes et de l’architecture de tout genre de monuments. Ma mère étudiait les différentes espèces de fleurs – tout particulièrement l’anémone- qui poussaient dans cette même ville, c’est d’ailleurs là qu’elle a rencontré mon père. Le coup de foudre ne se fit pas attendre, à l’âge de vingt et de vingt-quatre ans, mes parents s’unirent à la vie à la mort.

Deux ans plus tard, ma mère me portait déjà dans son ventre. Mon père était fou de joie, pensez-vous. A la fin des neufs mois, le 28 Février 1983, je naquis à Athènes en Grèce. Tout semblait si merveilleux, mais la réalité ramenait bien vite mon père sur terre quand on lui apprit que ma mère n’avait pas survécue à l’accouchement. Le cœur déchiré par la mort de sa bien-aimée, et de l’autre remplie de joie d’être père, Sebasten était partagé entre deux états; brisé et heureux. N’étant pas l’un de ces hommes qui abandonne leur enfant, il décide de me prendre en charge seul.

La première année de ma vie avait été éprouvante pour mon père. La disparition de ma mère ne l’avait pas quitté. Pourtant, il se donnait à cœur joie de s’occuper de moi. Plus je grandissais, plus il était protecteur envers moi. Je me suis toujours demander pourquoi je n’avais pas de mère. Agée de huit ans, je lui demandais pourquoi je n’avais pas de maman. Je me souviens encore de ce jour là, il m’avait pris sur ses genoux tout en m’expliquant que Hélène ma mère, était partie vers d’autres lieux, loin de la vie … Mais qu’elle était encore présente près de nous malgré tout. Je n’ai jamais senti un abandon maternel, ce qui m’a permis de vivre pleinement ma vie avec mon père, bien que ma mère me manquait fortement. Je la retrouvais tous les dimanches au cimetière. Mais pour en revenir encore un moment à mon enfance, mon père m’expliqua le pourquoi il avait choisi le nom de « Damara ». Tout était en lien avec ma mère. Elle avait le caractère parfait, gentille, serviable, présente, aimante, maternelle et douce … Damara signifie ‘’ doux ‘’ en Grec. Hélène vie en quelque sorte à travers moi. Sebasten avait les yeux d’un bleu profond, mes aïeux avaient tous cette particularité, d’où notre nom de famille « Galanis » qui signifie bêtement ‘’ qui à les yeux bleus’’. Enfin, le reste de mon enfance s’est déroulé sans péripéties douloureuses, au contraire, elle a été merveilleuse. Mon père m’a toujours soutenue que cela soit au niveau scolaire ou autre. Il m’a transmis sa passion pour l’histoire et curieusement, je m’intéressais aussi au naturalisme, ce qui faisait plaisir à mon paternel.

A dix-huit ans, je finis brillamment mes études, et entreprenait un avenir tel que celui de mon père. J’entrepris donc sans attendre ma première année d’étudiante. Cette même année, je rencontre l’homme de ma vie, Anthony. Deux ans plus tard, à l’âge de vingt ans, je tombe accidentellement enceinte. Mon père n’était pas trop d’accord pour que je le garde, mais à force de lui faire les yeux doux, il finit par accepter mon futur de mère. De son côté, Anthony était lui-même très heureux. J’étais comblée, mon bonheur ne pouvait pas être plus parfait. Mais tout s’écroula au bout de quatre mois de grossesse, je fais une fausse couche, je perds mon enfant. Brisé, en pleure, mon malheur ne faisait que de commencer, Anthony meurt dans un accident de voiture. Je me renferme donc sur moi-même, refusant de poursuivre mes études. Je retrouve un peu de réconfort dans les bras de mon père qui m’encourage malgré la douleur qui me ronge le cœur à me redresser. L’année qui suit, j’entreprends un voyage avec mon père dans toute la Grèce, passant par Thèbes pour arriver au Péloponnèse remontant jusqu’à Veroia passant par Olympe. Mon pays d’origine n’a presque plus de secret pour moi.

Vingt deux ans, je décide sur un coup de tête d’entrée dans la police. Attitude irréprochable, hormis qu’on me reprochait d’être trop douce avec les prisonniers. Mais bon, on ne change pas une équipe – même seule soit-elle- qui gagne. Mon mentor m’encourageait à être plus dure, plus froide avec ces ‘’animaux’’ comme ils les appelaient. J’assistais à des séances de tortures, mais à la fin de celle-ci, j’allais toujours soigner l’individu blessé, presque mort.

Trois ans plus tard, mon chef me force d’aller endurcir mon caractère dans cette fameuse prison d’Allemange, Sadismus si mes souvenirs son bon. De plus, il parait que c’est autre chose que les prisons en Grèce, et que le bâtiment en questions avait son histoire. Je préviens mon père et quelques jours après, j’étais dans l’avion en direction de ma nouvelle vie. Gardant en tête mes défunts, et l’idée que même si cette prison était aussi horrible que ça, je porte le nom de Darama … La douceur. Que même les enfers ne changeront jamais …

L'histoire se poursuit, après quelques mois passés dans cette prison. Un beau matin, on m'annonce que celle-ci va prendre fin. Je retourne donc à contre-coeur mais heureuse en Grèce. Laissant derrière moi, mes protégés: Siriel, Adélie, Mademoiselle Bella, ...

Durant les deux années qui précèdent mon '' re-transfère '' dans mon ancien travail de policier. Je n'ai sans cesse essayer de ramifier mon caractère, sans succès. Par contre, mon fidele compagnon à bien évolué et prêt tout comme moi, à reprendre du service dans une prison. Par ce que oui, je m'amuse à faire les allés-retours de mon pays à un autre. Cette fois-ci, c'est direction le Luxemblourg!

Dossier d'emploi

Matricule : 2838[/color[color=cornflowerblue]]
Rôle dans la prison : Gardienne, et historienne/naturaliste à ses heures perdues.
Chambre no. :
Rang : Douce Flamme
Armes : Tonfa, 9millimètre.
Personnage sur l'avatar : Une des créations de Heise.

En plus : Toujours accompagnée de mon chien Athis [croisé-loup].

Note : Adulte, Athis a un caractère assez tenace. Calme et parfaitement obéissant, son côté sauvage risque d’en rebuter plus d’un. Ce n’est pas vraiment un chien auquel on ferait confiance au premier coup d’œil. Celui-ci est toutefois très sociable avec ceux qu'il connait.

Fiche Validée.

J'ai changé ton pseudo, tu feras attention à ne pas oublier lors de ta prochaine connexion.

Tu seras dans la chambre 1 avec Maria ^^

Bon jeu.